Technologies

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Vers un numérique plus responsable ?

Plus que jamais, les sujets d’impacts environnementaux et sociétaux demeurent d’actualités. Encore une fois, le digital est directement concerné ! Parce qu’il prend une place de plus en plus importante dans nos vies. Car il est source de pollution, de consommation énergétique et d’exclusion. Mais difficile de s’en passer ! C’est pourquoi, nous proposerons quelques bonnes pratiques vers un numérique plus sobre et plus responsable.

Une prise de conscience nécessaire

Hyper connectés avec nos derniers gadgets électroniques en poche, sommes-nous seulement conscients de leurs impacts environnementaux et sociétaux ?

Bien-sûr, nous savons que la production de nos équipements numériques est à l’origine d’impacts fortement négatifs ! Nos PC, montres connectées et smartphones derniers cris, fonctionnent avec des matériaux rares. Ces matériaux sont extraits par des êtres humains dans des conditions parfois très précaires. De plus, ces ressources s’amenuisent. Enfin, pour arriver dans nos sacs, ces devices voyagent à travers le monde sur des portes conteneurs polluants.

Pourtant, si la fabrication reste en tête, nos usages méritent de s’y intéresser. Ainsi, vidéos, streaming, mails avec pièces jointes, mining de cryptomonnaies, big data, cloud,… et la démocratisation de tous ces objets connectés sont à la source d’impacts amenés à prendre de plus en plus d’ampleur.

Heureusement, nous pouvons agir ! Cette démarche responsable peut s’appliquer tant au niveau professionnel que personnel. C’est pourquoi, cette prise de conscience est nécessaire pour un numérique assumé mais responsable. Et au delà, de l’aspect environnemental,  nous évoquerons des pistes environnementales mais sociétales également. Les impacts sociétaux font partie intégrante de cette responsabilité numérique.

Quelques pistes d’actions

Tel Maître Yoda, nous avons listé quelques préceptes. Sans vouloir être dogmatique, mais plutôt pragmatique, nous souhaitons par cet article partager notre prise de conscience. Et peut-être, vous donner envie de mettre en place quelques actions plus responsables !

  1. Du matériel reconditionné, tu achèteras ou loueras !
  2. Pour du neuf, du matériel de qualité et évolutif pour longtemps, tu amortiras !
  3. Pour développer tes applications à l’éco-conception, tu penseras !
  4. Ton équipe technique, de personnes en reconversion et de femmes, tu constitueras !
  5. Ton équipe au numérique, tu formeras et au numérique responsable, tu sensibiliseras !
  6. Pour éviter l’accumulation d’appareils téléphoniques, une double SIM ou byod (bring your own device) tu envisageras !
  7. La charte du numérique responsable, tu liras !
  8. Ton système d’information (facile à dire !) tu simplifieras !
  9. Des solutions numériques de proximité, tu trouveras !
  10. Tes mails même hors des « clean up day » tu supprimeras !
  11. Les « répondre à tous » avec gif animés, tu éviteras !
  12. La triple saisie, tu banniras !
  13. Des fournisseurs responsables, tu privilégieras (hébergement, matériel, logiciel) !
  14. Les solutions développées à proximité, tu étudieras !
  15. Des solutions accessibles à tous, tu développeras !

#Techforgood #GreeenforIT #ITforgreen#ODD #HumanforIT #ITforHuman

 Pour aller plus loin :

Des ressources sont disponibles sur le Think Tank de l’Institut du Numérique Responsable https://institutnr.org/

Calculez votre impact https://institutnr.org/calculatrice/impact-environnemental-numerique-inr.html

charte.institutnr.org

Découvrir les ateliers de La Fresque du Numérique pour comprendre en équipe et de manière ludique les enjeux environnementaux du numérique :

https://www.fresquedunumerique.org/

https://www.agenda-2030.fr/17-objectifs-de-developpement-durable/

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Caroline ScheidtVers un numérique plus responsable ?
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Et si on arrêtait d’être aussi joignable ?

Faut-il être toujours joignable au bureau, ou en télétravail ? vous vous posez cette question ? A bien y réfléchir, la Tech n’a pas que du bon…

Ah, la Tech… Certains se souviennent des premiers Blackberry, vous savez, les premiers téléphones qui permettaient aussi d’envoyer et recevoir des mails, avec ces petites touches en dessous de l’écran ?  Exceptionnel le super-pouvoir  conféré par ce petit appareil à une Happy Few !

Et puis, tout le monde a fini par acquérir ces objets magiques qui permettent de traiter ses mails en mobilité, les smartphones ont fait leur apparition, ils sont aujourd’hui la norme. Et ce qui était un super-pouvoir devient… simplement normal, voire, un minimum…

Pire : si nous ne répondons pas immédiatement, n’envoyons-nous pas un mauvais signal ? Nous nous sentons alors en devoir de nous justifier, de nous excuser. Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil ! Du temps (lointain) où les lettres  étaient le seul moyen de correspondre, un trop long délai de réponse donnait certainement lieu à une explication, et à des excuses « Très cher, pardonnez mon long silence… ». Mais la technologie a fait passer un délai acceptable de plusieurs jours… à quelques heures, avec des effets  qui méritent  qu’on s’y attarde un peu.

Misfit, charge mentale et faux critères d’évaluation

Effet #1 : le délai de réponse acceptable pour les uns n’est pas forcément le même que pour les autres et des malentendus peuvent vite survenir… Si Amy estime que le mail qu’elle envoie à Alexia mérite une réponse dans l’heure, il y a fort à parier qu’elle n’apprécie pas  une absence de réponse dans la demi-journée suivante, alors que sa nouvelle collègue, en toute bonne foi, estime que tout cela peut attendre le lendemain !

Effet #2 : le cumul de mails auxquels nous pensons devoir répondre dans les plus brefs délais entraine une charge mentale difficile à gérer. Il devient parfois difficile de distinguer les vraies priorités, et d’organiser notre activité dans ce contexte.

Effet #3, le plus pervers  : le temps de réponse à un e-mail (tout comme son heure) risque de devenir, pour certains managers, un (faux) indicateur de l’engagement de leurs collaborateurs. Dès lors, est-il plus important de traiter au plus vite les mails de son manager, ou de répondre à la question d’un client, ou d’un collègue qui attend une information nécessaire à sa tâche ?

Le remède à tous les maux : l’excuse

Alors, nous avons trouvé une merveilleuse parade à ces tensions : l’excuse. Le fameux : « Excuse-moi pour cette réponse tardive » suivi d’une explication. Et plus cette justification est solide, mieux nous nous sentons… pourquoi ? Parce que nous estimons que le fait de ne pas répondre tout de suite, où que nous soyons et à toute heure envoie à l’autre le message « tu n’es pas ma principale préoccupation » ou alors « il y a des choses plus importantes que ton e-mail (que toi) dans ma journée »…

Mais inversons la vapeur : nous-mêmes, lorsque nous envoyons un e-mail, dans quel délai attendons-nous une réponse ? Et si elle arrive le demain, est-ce grave ? Allons-nous nous considérer que notre destinataire ne nous a pas respecté, nous a négligé ? Essayons de faire le test. Nous surestimons sans doute le délai de réponse attendu…

Vous prendrez bien… un peu de recul ?

Alors, prenons du recul  (oui, bien sûr je m’inclus dans le lot).

  • Ce n’est pas parce que nous POUVONS techniquement répondre de suite à un email que nous DEVONS le faire. Et si c’était urgent ? Alors précisons-le, ou alors mieux, utilisons les messageries instantanées comme  les sms, TEAMS ou SLACK par exemple.
  • Ne prenons pas les choses personnellement (un des accords toltèques), acceptons de ne pas être la préoccupation principale des autres.
  • Utilisons les excuses avec parcimonie, uniquement lorsqu’elles sont sincères, lorsque nous réalisons que nous avons pénalisé le travail d’un collègue ; refusons les excuses systématiques.
  • Etablissons les « règles du jeu » en début de projet ou à notre arrivée dans une équipe : très urgent : téléphone ou messagerie instantanée (préciser laquelle), sinon, précisons le délai que nous considérons comme acceptable pour nos e-mails.

Sachons faire le tri : la #tech est la meilleure des choses, mais elle peut aussi être la pire. Apprécions ses bons côtés, et préservons-nous des autres…

Alors, faut-il être toujours joignable ?

#Tech #usages #mindset

Photo by Patricia Prudente @apsprudente on Unsplash

Inspiré de l’article https://www.theatlantic.com/family/archive/2022/01/not-sorry-for-my-delay/621264/?utm_source=pocket&utm_medium=email&utm_campaign=pockethits de Joe Pinsker

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Catherine PhilibertEt si on arrêtait d’être aussi joignable ?
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l’IA : en quoi elle peut changer les RH

Photo by Jen Theodore on Unsplash

L’Intelligence Artificielle (IA) n’est pas une innovation, pourtant, de nombreuses entreprises s’y intéressent… Mieux que cela, elle est même entrée dans nos vies quotidiennes, notamment via nos smartphones.

Si l’IA peut apporter beaucoup aux équipes Ressources Humaines (RH), elle a toutefois quelques limites…

 

Que peut faire l’IA pour la fonction RH ? 

Un des challenges de l’ IA est de parvenir à s’adapter aux métiers complexes de la fonction RH. Ses missions sont diverses et variées, il est un pilier central de l’entreprise au carrefour entre l’humain et la recherche de performance pour son entreprise.

L’IA est capable d’analyser une grande quantité de données difficiles à appréhender pour l’être humain. Elle peut ansi soulager les équipes  RH sur les tâches quotidiennes et répétitives, généralement administratives, afin de se libérer du temps et se consacrer à l’humain avant tout : gestion des salariés, écoute et amélioration de leur expérience dans l’entreprise. Selon une étude de Axys, 86% des RH souhaitent que l’IA permette d’automatiser une partie de leur travail et ainsi se défaire des tâches chronophages. L’IA ne remplace pas les équipes RH et ne les remplacera jamais, en revanche, elle simplifie nombre de tâches qui leur incombent.

Autre aspect un peu moins connu de l’IA : en analysant les posts publiés sur les réseaux sociaux, elle peut permettre d’identifier des signaux faibles, par exemple quant à l’adéquation d’un profil à la culture d’entreprise, et même aller jusqu’à anticiper le départ d’un salarié !

 

Quelle forme d’IA pour accompagner les RH ?

Quelques usages  de l’IA par les équipes RH :

Des chatbots peuvent être configurés pour répondre aux questions récurrentes des employés en matière de RH.

Dans le cadre d’un recrutement, l’IA peut permettre trouver un candidat dont les compétences sont en adéquation avec l’offre d’une entreprise. Et pour éviter tous les biais, l’IA se concentre sur les expériences, hard skills et soft skills et ne pas prendre en compte  le genre, la photo, le nom ou l’origine de la personne. L’IA peut étudier le profil d’un candidat en shortlist et valider sa « compatibilité » avec le reste de l’équipe.

Lire aussi : Quand ce sont les soft skills qui font la différence

Mais attention, l’IA n’est pas infaillible puisqu’elle obéit à des  paramètres indiqués par l’humain. Ainsi, en 2015 la plateforme d’IA de recrutement Amazon remarquant qu’une majorité d’hommes postulaient en a conclu qu’il était préférable de recruter des hommes et rejetaient les candidatures féminines. Avec l’IA aussi, il faut se méfier des biais !

 

IA et éthique

L’IA apporte également une nouvelle dimension aux RH, en effet il leur est désormais possible d’avoir accès aux données sur les candidats à un poste et même sur les salariés actuels de l’entreprise. Les réseaux sociaux, blogs ou encore … peuvent être scrutés afin de mieux connaître ses actuels ou futurs collaborateurs. On peut alors se demander où se trouve la liberté personnelle de chacun ? L’IA appelle donc un encadrement du point de vue éthique, et même juridique.

Ainsi, 83% des DRH se veulent être garants de l’éthique suite à la mise en œuvre de l’IA dans leur entreprise.

Un accompagnement des collaborateurs dans cette transition est donc fondamental et nécessaire. Dans ce cadre, 81% des DRH confient qu’ils seront attentifs aux impacts de cette technologie sur les conditions de travail et le bien être des collaborateurs. Ne serait-ce que pour prendre en compte la maturité digitale et les appétences de chacun vis à vis de toutes ces nouvelles solutions digitales qui font leur entrée en entreprise.

 

Conclusion

Le challenge des années à venir, est de trouver le bon binôme homme-machine, de conjuguer la meilleur des deux. Dans le cas de la fonction RH, il va s’agir de se réinventer pour tirer les bénéfices du traitement par l’IA d’un nombre de données qui donne le vertige au cerveau humain… Mais qu’on se rassure : soft skills, intelligence émotionnelle, ont toujours une place prépondérante dans l’entreprise. Et cela risque de durer encore longtemps ! Plus il y a d’IA, plus il faut d’émotion, de créativité, bref… d’humain !

 

 

https://www.axys-consultants.com/blog/digital-data/ia-menace-ou-opportunite-pour-les-drh

https://www.andrh.fr/actualites/1163/rh-digital-lintelligence-artificielle-au-service-de-la-grh

https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/quand-le-logiciel-de-recrutement-damazon-discrimine-les-femmes-141753

 

 

 

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2019 // Act for Digital !

En 2019, Le Clan//Digital, a décidé de s’engager aux côtés des acteurs de l’écosystème du numérique. Tout au long de l’année, des programmes, des ateliers, des challenges ont été organisés autour des métiers du numérique et de ses enjeux. Nous y avons activement participé… et avec grand plaisir ! #Act4Digital

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Caroline Scheidt2019 // Act for Digital !
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La beauté et le digital

Nous sommes 2 femmes co-fondatrices d’une société spécialisée dans le digital. Nous animons un blog, dans lequel nous parlons d’Intelligence Artificielle, de digitalisation de la relation client et même d’exclusion numérique mais jamais de beauté, enfin jusqu’ici !

La plupart des domaines évolue aujourd’hui avec le digital. La beauté,  la cosmétique, la coiffure sont également très concernés. En quelques points, nous vous proposons de faire un petit tour d’horizon des évolutions de ces dernières années.

Les influenceuses sur le net

Commençons par les blogueurs beauté. Ils existent depuis plusieurs années et présentaient des produits, des styles vestimentaires, des trucs et des astuces sur leur blog. Les tutoriels de maquillage remportent un grand succès sur youtube. Aujourd’hui, les influenceuses sont souvent des stars de la téléréalité. Elles réalisent des petites vidéos pour promouvoir un produit de cosmétique par exemple et l’effet sur la toile est immédiat.

Les stratégies digitales évoluent

Les stratégies des grandes marques ont évoluée vers le digital. Les ventes en lignes poursuivent leur essor sur les sites de e-commerce, ou en m-commerce via des applications mobiles dédiées. Les jeunes entrepreneurs ont également leur chance grâce aux influenceurs. Ils sont devenus incontournables pour se faire connaître et se développer, découvrez par exemple lugira !

Des applis bluffantes

Ces mêmes grandes marques ont ainsi surfé sur l’évolution des technologies et des usages pour proposer de nouveaux services à leur clientèle. LOREAL propose par exemple une application sur tablette pour choisir sa teinte de cheveux et la tester avant de se lancer.  L’appli StyleMyHair 3D de L’Oréal permet en salon de coiffure de choisir et valider sa couleur. Déjà en 2014, LOREAL avait lancé « Make up genius », l’appli make-up.

En magasin

Sephora également a lancé en 2015 de nouveaux services digitaux avec Sephora Flash. Tout en proposant des services de proximité, le digital devient une aide au parcours d’achat même en magasin. Ainsi 2 robots vous accueillaient, des écrans tactiles géants sont à disposition de leurs clients,…

Des produits de beauté connectés

Pour finir, parlons des crèmes dites connectées ! Il s’agit plutôt de patchs connectés. La Roche-Posay propose My UV Patch. Il permet de contrôler les temps d’exposition au soleil et de préserver son capital soleil.

Le domaine de la beauté est loin d’être épargné par le digital. De nombreuses innovations et évolutions sont à venir.

 

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Un été connecté ?

La mobilité tout le monde en parle, 75% d’entre nous possèdent un smartphone. Les évolutions de la technologie, nous apporte des solutions à portée de main. La mobilité en plein essor devient donc très sexy… Voici 6 solutions incontournables pour passer votre été connecté !

 

Côté pro – A la plage comme au bureau

1 De la bureautique sur un smartphone

L’été à la plage, vous restez connecté pour consulter vos mails, accéder à vos dossiers, rédiger des courriers ou encore modifier un powerpoint ?  La plupart des logiciels microsoft, sont disponibles sous forme d’applications mobiles, alors rien de plus simple que de travailler de votre smartphone ou pour plus de confort de votre tablette.

 

2 Dans les nuages

Et le télétravail évidemment, à l’heure de la canicule, les déplacements en ville sont proscrits pour bon nombre de véhicules. Alors pourquoi ne pas travailler à la maison ? A l’ombre de sa terrasse, dans un espace tempéré ou même sur la plage en vacances. Heureusement, le télétravail se démocratise, il est permis par des accès VPN sécurisés ou via les navigateurs. Les solutions proposées en cloud vous permettent évidemment de travailler d’une tablette ou d’un smartphone.

 

3 Commerce à la plage

Vous êtes Commerçant, vous travaillez sur les plages ? Que cela ne tienne ! Il existe des solutions de paiement qui ne nécessitent aucun matériel, mis à part votre smartphone. Ces solutions mobiles de paiement, vous permettent d’encaisser les paiements en carte bancaire et de suivre vos transactions. Easytransac, startup alsacienne, répondra à vos besoins. D’autres applications du même type existent par ailleurs !

 

Côté perso – Connecté mais zen

 

4 Plus de stress pour chercher ses colis

Le m-commerce connaît depuis de nombres années un succès grandissant. Des nouvelles solutions sont aujourd’hui possibles grâce aux évolutions technologiques. Vous passez vos commandes sur Amazon ? Vous pouvez les faire livrer sur votre lieu de vacances. Grâce à Amazon Locker vous pourrez quelle que soit l’heure, retirer votre colis dans ces points de retrait. Ce sont des casiers sécurisés par code, en libre-service.

 

5 Communiquer avec votre maison

Peut-être avez-vous installé des solutions de domotiques pour surveiller votre maison à distance, ouvrir ou fermer les volets, gérer la température, lutter contre les intrusions,… Sans investir dans un système de domotique onéreux, des solutions toutes simples sont à portée de main. Le saviez-vous ? Vous pouvez également mettre en place des détecteurs de fumée connectés proposés par Smockeo. Ces détecteurs vous signaleront tout dégagement de fumée.

 

6 Personnaliser vos cartes postales

Enfin, pour préparer, personnaliser et envoyer vos cartes postales sans quitter la plage, Fizzer est là ! Cette application mobile est épatante, vous prenez vos propres photos, vous rédiger votre message et vous envoyer vos cartes postales directement de votre mobile. J’utilise l’application depuis 2 étés et je peux vous dire que vous faites plaisir à vos parents et amis avec vos photos de familles ou de paysage !

 

Voilà pour ces quelques conseils pour votre été connecté. Mais bien-sûr, vous pouvez aussi choisir de vous déconnecter et profiter de l’instant, à vous de voir !

Très bel été à vous !

 

 

 

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Innovation et numérique

Aujourd’hui, de nombreuses aides sont fléchées sur l’innovation. Que vous soyez Chef d’entreprise, Startuper, des aides et des accompagnements sont certainement possibles pour développer votre innovation. Nous nous intéresserons, dans cet article, aux projets d’innovation numériques.

Quelles sont les aides à l’innovation?

Les aides peuvent être européennes, nationales, régionales ou métropolitaines.  Elles apparaissent le plus souvent sous forme de subventions, d’avance remboursable ou de tremplin. En plus, elles prennent la forme de dossiers de  :

  • demandes classiques
  • appels à manifestations d’intérêt
  • appels à projets
  • trophées, challenges.

Identifier les dispositifs est une chose :  il faut ensuite vérifier votre éligibilité. Les critères sont multiples. En effet, la maturité et la situation de l’entreprise sont importantes : ante-création ? accélération ? primo-innovant ? hauteur des fonds propres ? potentiel marché ? Equipe ?

Des structures sont là, pour vous accompagner dans ces démarches. Parmi elles, les agences d’innovation et de développement économique, les pôles de compétitivité,… Les collectivités territoriales ou consulaires sauront également vous accompagner ou vous orienter au mieux dans votre écosystème. Attention, le rôle des organismes et leurs missions peuvent varier d’une région à l’autre.

L’innovation c’est quoi ?

Bien que les critères d’éligibilité soient différents selon les dispositifs, le caractère innovant reste un élément essentiel. Selon le manuel d’Oslo, la définition générale est : « Une innovation est la mise en œuvre d’un produit (bien ou service) ou d’un procédé (de production) nouveau ou sensiblement amélioré, d’une nouvelle méthode de commercialisation ou d’une nouvelle méthode organisationnelle dans les pratiques d’une entreprise, l’organisation du lieu de travail ou les relations extérieures ». La définition est bien entendu plus détaillée. BPI France a édité en 2015 un guide illustré. Il est tout à fait pertinent pour comprendre et évaluer les innovations organisées en 6 typologies :

  1. Innovation marketing et commerciale
  2. Innovation produit service et usage
  3. Innovation technologique
  4. Innovation de procédé et d’organisation
  5. Innovation de modèle d’affaire
  6. Innovation sociale

Voici une illustration pour mieux comprendre les typologies d’innovations et leurs applications.

L’innovation dans le numérique ?

Quel que soit le projet, il s’agit avant tout d’une solution qui trouvera son marché, ses utilisateurs. Pour avoir accompagné de nombreux projets innovants, l’innovation technologique est loin d’être le type d’innovation la plus courante. Par exemple, des entreprises travaillent avec des laboratoires de recherches sur des algorithmes particulièrement évolués. Elles sont en capacité de les déployer aux travers de solutions logicielles sur le marché. D’autres, élaborent des solutions techniques innovantes autour de nouveaux capteurs. Mais ce n’est pas la majorité des cas !

Aujourd’hui, l’innovation dans le numérique s’illustre souvent par de nouveaux usages. Ainsi, on utilise alors les technologies existantes pour en faire une application nouvelle. Le domaine d’application est nouveau, la vie de professionnels ou des usages sont simplifiés et l’usage est immédiat. Que ce soit en matière de médecine, de bien-être, de finance ou encore d’éducation : l’innovation d’usage devient monnaie courante !

Dans le numérique, le modèle économique a beaucoup évolué ces dernières années et ce n’est pas fini ! Ces nouveaux modèles sont considérés comme une innovation de modèle d’affaires. Les modèles de l’abonnement, la génération de revenus autour des données par exemple ont été des innovations. Aujourd’hui, ces modèles sont adoptés dans notre quotidien, mais d’autres innovations sont à venir. C’est bien la preuve qu’elles ont trouvé leur marché !

Pour aller plus loin :

Le guide complet de la BPI est à télécharger en ligne.

Pour vous donner une idée des appels à projets existants https://les-aides.fr/projets/

Pour le reste, consultez les sites de vos territoires : régions et métropoles !

Pour ces informations, vous pouvez nous contacter sur https://www.leclandigital.com/nous-contacter/

 

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Créateurs d’entreprise : quel sera votre Système d’Information ?

Le grand jour est enfin arrivé, vous êtes immatriculé et vous allez démarrer votre activité. Sans être expert du numérique, vous n’y dérogerez pas, vous allez devoir vous équiper en matériel, logiciels et autres outils numériques… Est-ce réellement un casse tête ?

Vous avez entamé une reconversion professionnelle et après de longues années en entreprise, vous avez décidé de vous lancer. Que vous soyez artisans, commerçants, coachs, consultants en marketing formateurs, porteurs de projet, fabricants,… Vous êtes prêt à vendre vos produits ou vos services.Vous pensiez pouvoir vous en passer ? Et pourtant… Pour faire connaître votre activité, vous avez certainement investi dans un nom de domaine : pour créer un site internet, vous référencer sur google entreprise ou juste avoir des adresses mails professionnelles. On évite les adresses gmail, hotmail, ce n’est pas très pro !

Vous avez acquis un PC ou un mac, mais il vous faut des logiciels. Tableur, traitement de texte, logiciel de facturation, CRM pour votre gestion client ou ERP votre progiciel intégré, des espaces de stockage ou autres outils collaboratifs : la liste est longue ! Il en existe adaptés à votre métier. Mais allez-vous acheter les licences ou choisir le mode Saas ? De nombreux éditeurs, vous proposeront aujourd’hui des solutions sous forme d’abonnement. L’avantage est immédiat, les coûts mensuels restent accessibles et vous évitent des investissements lourds. Voici quelques avantages non négligeables :

Des mises à jour régulières

L’éditeur fait régulièrement évoluer ses solutions pour des raisons de sécurité, ou pour répondre à la demande. Attention toutefois, certains en font leur modèle économique, ils peuvent proposer des évolutions qui engendrent des coûts supplémentaires. Mais si vous n’avez pas engagé de développement spécifique, vous devriez bénéficier de la plupart des évolutions intégrées dans le coût de votre abonnement.

Des sauvegardes en temps réel

Vos informations sont alors stockées dans le cloud, c’est-à-dire dans des data centers loin de vos locaux. Ces solutions sont, en général, accessibles via un navigateur web. Vos données et outils sont désormais accessibles de n’importe quel device (smartphone, tablette, PC,…) car vos données sont stockées en ligne. Est-ce raisonnable ? N’y a-t-il pas de risque ? Il y a les promoteurs et les détracteurs, dans tous les cas, il est important de lire les conditions et de s’intéresser au lieu où seront hébergées vos données. Sont-elles dans un data center en France ou ailleurs ? Certains grands éditeurs proposeront, en parallèle des solutions installées sur votre PC : elles fonctionnent alors en mode déconnecté et proposent une synchronisation immédiate dès que vous êtes connecté.

Une assistance efficace

Les grands éditeurs proposent bon nombre du tutoriels écrits ou en vidéo. Des forums permettent également de trouver toute l’information nécessaire en 1 seul clic. Les petits éditeurs offrent bien-sûr ce type d’informations de manières plus confidentielle. Leur atout sera une proximité plus grande, car on se connaît. Cela se présentera souvent sous la forme d’une assistante « à l’ancienne »  avec accueil téléphonique et réponse à vos messages dans l’heure.

Des solutions qui répondent aux contraintes règlementaires

En tant que Chef d’entreprise, vous découvrirez que les contraintes règlementaires font légion. Votre CRM en ligne vous proposera d’être conforme à la RGPD et de centraliser vos données. Votre ERP vous proposera un outil de facturation certifié, etc.

Voilà cela fait quelques mois que vous avez lancé votre activité, vous êtes désormais à la tête d’une entreprise et de votre propre système d’information (anti-virus, office 365, espaces collaboratifs, ERP,…) ! Ce système d’information permet à vos collaborateurs de travailler ensemble, de partager les informations en temps réel et de faciliter l’intégration des nouveaux collaborateurs. Vous pouvez travailler à distance et bénéficier des évolutions techniques et de sécurité.

Les outils en mode Saas évoqués ici sont loin d’être exhaustifs mais ils sont censés refléter les usages actuels autour du cloud computing.

SaaS : Software as a Service

CRM : Customer Relationship Management

ERP : Enterprise Resource Planning

RGPD : Règlement général sur la protection des données

Pour aller plus loin :

https://www.lesechos.fr/thema/030344851698-les-entreprises-consomment-plus-de-logiciel-a-la-demande-2089253.php

https://www.captaincontrat.com/articles-droit-commercial/differences-contrats-licence-service-contrat-saas

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Le paradoxe français en matière de formation en informatique

A l’heure où les ressources en informatique font cruellement défaut, les traditions françaises en termes d’éducation restent un véritable obstacle. Et, dans les 4 années à venir, la tendance sera encore plus marquée avec la pénurie d’informaticiens déjà annoncée.

Parce que les métiers du numériques sont vastes, que celui d’informaticien l’est tout autant avec plus d’une centaine de métiers référencés, nous nous intéresserons, pour cet article, aux développeurs. Ces informaticiens développent des logiciels, des sites web ou encore des applications mobiles. Ce métier entend de maîtriser différentes compétences techniques : des langages (open source ou éditeurs, …), connaître des frameworks, maîtriser un tant soit peu les bases de données et bien d’autres encore ! Le métier d’informaticien, veut également dire adaptation constante, appréhension des nouvelles technologies, modélisation de concept,…Ces métiers ont toujours un bel avenir, même si les compétences attendues à l’avenir s’orientent vers le big data et l’intelligence artificielle.

 

Mais qu’attend-on aujourd’hui d’un informaticien ?

  •  D’être diplômé eh, oui !

Malgré le discours porté par de grands chefs d’entreprise, en France, on attend encore et avant tout d’un informaticien, d’avoir un Bac +5 ! C’est fort dommage, mais le Bac+5 est devenu une norme, il convient de s’y contraindre. Depuis 10 ans le nombre de diplômés bac+5 a augmenté de manière très significative. Notre culture française préfère-t-elle le savoir à la compétence ? Le diplôme à la préparation métier ? Du côté des jeunes, le Bac+5 est un passeport pour trouver un emploi et briguer un meilleur salaire. Du côté des entreprises, c’est un gage d’efficacité. Pour peu que la formation ait été faite en alternance, les jeunes diplômés souvent recrutés par leur maître d’apprentissage sont immédiatement opérationnels. Le graal dans notre tradition française reste le fameux titre d’Ingénieur, un atout indéniable pour le jeune diplômé qui cherche un travail en France.

  • D’avoir d’autres compétences, évidemment !

On attend d’un développeur qu’il « pisse du code » peut-être ! mais pas que… N’oublions pas les soft skills ! Au-delà des compétences techniques, les recruteurs attendent de ces informaticiens des compétences humaines, managériales, en gestion de projet, et surtout des capacités de travail en équipe, on veut qu’il soient agiles ! Le geek qui ne lève plus les yeux de son écran tout au long de sa journée, n’est pas forcément le profil le plus recherché. La maîtrise de l’anglais reste évidemment un incontournable en la matière. L’autonomie est également un des piliers fondamentaux. Notre développeur doit être en capacité de s’approprier les évolutions des technologies ou apprendre de nouveaux langages par lui-même.

 

L’orientation des jeunes et inclusion

Face à la croissance démographique, à l’évolution des usages et à la fracture numérique, l’orientation des jeunes est-elle adaptée ? La formation au lycée ouvre-t-elle réellement les lycéens aux opportunités de carrières notamment dans le numérique ? J’ai clairement mon idée sur la question, mais je laisserai, volontairement ces questions en suspens.

Autre question : Il n’y a pas assez de jeunes dans ces filières encore moins de jeunes femmes ? Tradition française ? Culture ? Education ? Manque d’anticipation ?

 

Heureusement, différentes actions sont portées par les acteurs nationaux tels Syntec, intervention dans les écoles (collèges et lycées), les femmes du numériques pour sensibiliser les femmes à ces métiers. Dans la Capitale et région également, des acteurs locaux proposent des ateliers de robotique aux jeunes, organisent des hackathons, des écoles privées ou des universités proposent également des actions,… pour favoriser l’ émergence de vocations.

La dynamique est engagée mais encore loin d’être suffisante à nous de l’intensifier pour préparer au mieux notre avenir et celui de nos jeunes.

 

Pour aller plus loin :

https://syntec-numerique.fr/ 

https://www.xerficanal.com/strategie-management/emission/Francis-Jouanjean-Enseignement-superieur-arretons-la-course-au-Bac+5_3744464.html 

https://www.latribune.fr/supplement/recrutement-dans-l-informatique-et-le-numerique-le-desequilibre-en-l-offre-et-la-demande-va-t-il-perdurer-795382.html 

 

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Les bonnes résolutions digitales de votre année 2019

Pour démarrer cette nouvelle année avec une petite référence de « Geek », voici quelques pistes digitales inspirées par Maître Yoda. Ces quelques conseils sont fort sages ; alors si vous ne les avez pas encore suivi, chers Jedi du digital, il est temps de consolider votre digitalisation et de dépasser les derniers obstacles. Et comme le disait très justement Yoda « Difficile à voir. Toujours en mouvement est l’avenir » : il est nécessaire de mettre toutes les chances de votre côté !

Le client au centre de ta démarche, tu mettras

Nous en avons déjà parlé dans notre blog, mais difficile de ne pas afficher ce point en tête de nos résolutions pour 2019. Améliorer l’expérience client et proposer un produit sur mesure, en cohérence avec ses propres valeurs, voilà les défis quotidiens de l’entrepreneur !

L’expérience client est l’ensemble des interactions entre un client et une marque, une entreprise et ses produits/services. Le digital permet aujourd’hui de proposer des solutions nouvelles pour accompagner le client dans son parcours. Parmi la multitude de solutions offertes par le digital, nous en avons sélectionnées deux :

  • Le traitement des données collectées, les analytics, … vous permettront d’observer et comprendre les comportements d’achat.
  • Le chatbot, l’agent virtuel conversationnel révolutionne la relation client. Ce robot propose d’assister le visiteur de l’achat, au service après-vente avec des réponses personnalisées, progrès réalisés grâce à l’intelligence artificielle.

Attention, pour une véritable efficacité la culture « customer centric » doit être partagée tant en externe qu’au sein de votre entreprise.

Le processus de la commercialisation à la facturation, tu optimiseras

L’automatisation des processus métiers est au cœur des stratégies des entreprises. C’est pourquoi, la digitalisation concerne souvent la gestion de la relation clients et le processus d’acquisition de nouveaux clients. De la commercialisation, à la fabrication jusqu’à la facturation, les services sont désilotées pour une collaboration plus transversale, les outils digitaux (CRM, ERP, GED, plateformes collaboratives, …) deviennent interopérables, du temps est gagné. Les données collectées et partagées au sein de l’entreprise, leur bonne exploitation et l’organisation ainsi rationalisée permettront de développer votre chiffre d’affaires.

Ton site en https, tu sécuriseras

Vous pensez que c’est un détail ? Pourtant, préconisé depuis 2017 par Google et WordPress, bon nombre de sites vitrines ou même de site de e-commerce n’ont pas encore franchi le pas ! Même si le référencement n’en pâtit pas directement, l’affichage « non sécurisé » très visible de votre navigateur, dissuadera assurément les internautes. Outre les conséquences sur le trafic de votre site, l’enjeu concerne la sécurité. En effet, les intrusions, le piratage, le détournement et le vol de vos données font légion. Le protocole SSL permettra donc de protéger les données de votre entreprise et celles collectées via votre site.

Sur les réseaux sociaux, tu communiqueras

Les réseaux sociaux appuient votre stratégie business notamment si vous vous inscrivez dans une démarche « Customer Centric » . Ils vous permettent de véhiculer vos valeurs et communiquer directement avec vos clients, prospects ou prescripteurs. Aujourd’hui, la marque employeur est un enjeu, et les réseaux sociaux seront un support incontournable pour attirer des nouveaux talents pour digitaliser votre entreprise et assurer sa pérennité.

Vous pourrez suivre les tendances, observer vos concurrents voir interagir avec eux sur des #hashtag ou fils de discussions. De plus en plus de marques interagissent avec leurs clients via les réseaux sociaux.

Les obligations légales en opportunités, tu transformeras

Les obligations légales peuvent paraître contraignantes pour un Chef d’entreprise, elles nécessitent des investissements en temps et en argent. Mais ces contraintes peuvent être considérées comme une vraie opportunité pour entamer sa transformation digitale. La mise à jour de vos données en relation avec la RGPD sera l’occasion de communiquer avec vos clients et prospects pour obtenir un accord, de nettoyer vos bases de données et d’optimiser ainsi vos actions commerciales. Un client sera d’autant plus rassuré, s’il voit des actions dans ce sens.

Vous êtes assujetti à la TVA ? Vous utilisez désormais un logiciel certifié et sécurisé. Fini, les factures sous excel ou pire encore sous word ! Vous avez peut-être découvert à cette occasion des solutions logicielles en ligne sous forme d’abonnement ?

Finalement, ces contraintes ne sont-elles pas de vraies opportunités pour préparer son entreprise à l’avenir ? Une occasion d’entamer sa transformation digitale ?

 

2019 sera une année riche en évolutions digitales : avec une stratégie clairement définie et un plan d’action efficace, votre transformation digitale sera plus aisée. Nous espérons que ces conseils et exemples vous permettent d’y voir plus clair  !

Pour aller plus loin : https://blog.smart-tribune.com/comment-optimiser-experience-client

Pour en savoir plus sur les chatbots : https://www.upmybiz.com/chatbot-agent-conversationnel-service-clients/

 

 

 

 

 

 

 

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