Le Clan//Digital en parle...

Dans notre blog, vous trouverez des articles sur les tendances du moment #IA #IoT #TransfoNum #Digitalisation #BigData #NouveauxUsages #Disruption #MarketingDigital #Innovation #SuccessStory... Nous vous aidons à vous y retrouver !

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Réseaux Sociaux ou IRL : découvrez 7 boosts d’enfer !

Réseaux sociaux réseaux IRL : et s’ils travaillaient ensemble ?

Vous dites que vous n’êtes “pas très Réseaux Sociaux”, mais ce n’est pas grave : vous connaissez de nombreuses personnes “en vrai” ( ou en bon français IRL : in real life). C’est vrai, vous les croisez régulièrement. Ou alors vous œuvrez pour les mêmes causes. Et peut-être vous travaillez ensemble sur le même projet. Ils répondent toujours présents quand vous les sollicitez, et vice versa. Et si les réseaux sociaux et IRL travaillaient ensemble… pour vous donner une audience et une communauté en béton ?

Le réseau est un trésor

Qu’il soit réel ou virtuel, un réseau ne se décrète pas, il se mérite.

Parce qu’il dépend de vous, mais aussi des autres. Parce qu’Il est le fruit de vos “soft skills”, vos actions, de votre ténacité, par exemple vous avez :

  • peut-être apporté votre aide, rendu service
  • ou alors su être identifié comme efficace et de confiance
  • ou même fait une mise en relation fructueuse
  • et qui sait, peut-être écouté un confrère dans une période difficile.

« Je t’en dois une », vous connaissez ? C’est un levier puissant pour votre réseau. Et c’est sûrement ce qui faisait dire à nos grands parents disaient « un bienfait n’est jamais perdu ».

 

Boostez votre réseau IRL avec les réseaux sociaux !

  1. Avant tout, invitez toutes les personnes que vous avez rencontrées : un petit mot personnalisé (possibilité d’automatiser le corps du message pour n’ajouter manuellement que le spécifique). Le petit truc : faites-le au fil de l’eau pour chaque nouvelle connaissance. Plutôt sur LinkedIn…
  2. Ensuite Remplacez l’échange de cartes de visite par une invitation “en live” sur LinkedIn…
  3. Et puis Retrouvez d’anciens clients, collègues, prospects, et prenez des nouvelles en message privé. Nous, on adore cette idée, c’est dans notre ADN on aime savoir ce que deviennent ces personnes avec lesquelles on a fait un bout de chemin;
  4. Pour continuer, positionnez les liens de vos comptes réseaux sociaux dans votre signature mail
  5. Invitez de nouvelles personnes : parce que vous avez des intérêts communs, (faire connaissance entre dirigeants d’un même secteur géographique ou d’activité, vous aimez ses posts…).
  6. Demandez une mise en relation à quelqu’un que vous connaissez … et proposez de le faire
  7. Enfin nteragissez sous un post ou en mode privé avec une personne que vous trouvez pertinente, construisez votre commentaire pour apporter de la valeur ajoutée au débat.

Voilà quelques conseils très simples, qui donneront une puissance incroyable à votre réseau, parce qu’entre deux rencontres « en vrai », vous aurez gardé le contact. On ne dira plus “loin des yeux loin du coeur” comme avant le Digital.

Et bien entendu, si vous voulez en parler avec nous, c’est ici : on applique toujours ce qu’on conseille !

Ou alors rendez-vous sur nos profils :

https://www.linkedin.com/in/catherine-philibert/

https://www.linkedin.com/in/carolinescheidt/

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Les secrets de Caroline pour construire un réseau de zéro

Lorsqu’on arrive dans une ville qu’on ne connait pas, qu’on démarre un nouveau job, qu’on monte son entreprise, il y a une urgence : construire son réseau. C’est un levier puissant de growth hacking, dit en bon français, pour développer très vite son business.

Une recette ?

Caroline, Co-fondatrice Le Clan//Digital est une experte en la matière. Alors, Caro, donne nous ta recette pour construire très vite un réseau solide…

Premièrement, cibler clairement ses attentes et ses objectifs : quels sont les domaines que vous voulez explorer ? Listez les par mots clés. Dans mon cas par exemple, les domaines visés sont formation / numérique (IA, inclusion des femmes) / innovation sur un territoire.

Deuxièmement, faire une veille pour identifier les événements, salons, rencontres qui se déroulent dans votre région, les sélectionner et s’y rendre. Et là, inkedin, eventbrite sont vos meilleurs amis. Et généralement, une fois que vous vous êtes inscrits, on vous réinvite !

Puis, identifier les têtes de réseaux sur Linkedin et les suivre. Par exemple pour moi, ce sont les responsables du numérique et Directeurs. Ils travaillent à l’agence d’innovation, l’agence de développement économique, l’incubateur, l’accélérateur, la métropole, la Région, la Dreets,… Les réseaux dédiés sont d’autant de portes d’entrée : Numeum, User group, la ruche digitale, …

  • Interagir avec eux sur LinkedIn : structurer votre commentaire comme un post, soyez pertinent, posez des questions, soulevez des enjeux, écrivez-leur en MP, donnez-leur de la visibilité sur votre compte, mettez-les en valeur…
  • Se les faire présenter, faire en sorte de les rencontrer sur un événement…

Et, mettre en place une veille automatique par mots-clé sur une territoire donné et proposer une stratégie de contenu sur LinkedIn en lien avec les domaines visés pour se faire identifier.

Surtout, Bouger, rencontrer, échanger, inviter, interagir, créer des opportunités tant en IRL qu’en virtuel : vous l’avez compris, le mouvement appelle le mouvement.

Enfin, s’engager, donner de son temps, partager ses valeurs. Les organisateurs d’événements ont besoin d’aide. Parfois speaker pour des tables rondes, parfois animateurs lors d’ateliers, ce sont des opportunités de s’engager et accroître encore son réseau.

A vous de jouer !

Vous voulez doper le réseau de vos équipes ? Faites les participer à un de nos Workshops, ou posez-nous vos questions. Votre premier pas, c’est ici ! Nous contacter…

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Le CLAN//DIGITAL 200% GIRLPOWER

C’est Google qui nous l’a dit, au départ… particularité de notre entreprise : dirigée par des femmes. Nous, au départ, on n’avait pas réalisé que cela pouvait être une particularité. Et puis on a réfléchi, et décidé qu’on allait le porter fièrement et mieux, le revendiquer. Nous sommes des femmes du numérique !

Oui, on est des filles, des vraies, on aime se pomponner, on est des féministes, on ne voit pas pourquoi les hommes sont payés plus que nous à qualification et expérience égales. On ne voit pas non plus pourquoi les femmes seraient aussi minoritaires dans les métiers du numérique, et on est plutôt inquiètes qu’elles risquent de laisser passer le train des nouveaux jobs d’avenir : sur la data, la cybersécurité, l’IA, etc.

Alors, on s’implique…

Et ce trimestre, nous avons :

  • participé à Revell East : un #hackathon dédié à l’entrepreneuriat au féminin. Un temps pour faire émerger des idées, brainstormer en équipe, un temps pour être coaché et affiner son projet. C’est aussi une occasion de découvrir on écosystème et construire son futur réseau d’entepreneurs.
  • participé au Robotech Days : une journée à l’IUT d’Haguenau, où 5 établissement scolaires et 110 lycéennes et collégiennes ont vécu une expérience immersive dans des ateliers Robotique, UX, proposés par 11 entreprises membres de RESILIAN (Réseau d’Industriels Innovants d’Alsace du Nord).
  • pris la parole au 360 possible à l’occasion d’une table ronde : “Rencontrez des femmes inspirantes et des acteurs engagés” portant sur la mixité dans les métiers du numérique ;
  • participé à une soirée pour faire connaissance et présenter FDN à tous les réseaux féminins du Grand Est…organisée par EstEllesExecutives : ensemble on est tellement plus fortes !

Elles bougent ?

Parce que, selon l’étude de l’OPIIEC, 61 % des garçons sont encouragés par leurs parents à faire une carrière dans le numérique, contre… seulement 33% des filles ! source : ipsos-ephtech oct-nov 2021. Selon la même étude pour le choix des études supérieures : les filles comptent 23 % des candidatures dans le numérique et 34% dans l’ingénierie.

Enfin, il est urgent de se bouger. Et  nous, autant qu’il nous est possible, on le fait !

Vous voulez initier une action en faveur de la mixité dans le numérique ? Contactez-nous !

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Vers un numérique plus responsable ?

Plus que jamais, les sujets d’impacts environnementaux et sociétaux demeurent d’actualités. Encore une fois, le digital est directement concerné ! Parce qu’il prend une place de plus en plus importante dans nos vies. Car il est source de pollution, de consommation énergétique et d’exclusion. Mais difficile de s’en passer ! C’est pourquoi, nous proposerons quelques bonnes pratiques vers un numérique plus sobre et plus responsable.

Une prise de conscience nécessaire

Hyper connectés avec nos derniers gadgets électroniques en poche, sommes-nous seulement conscients de leurs impacts environnementaux et sociétaux ?

Bien-sûr, nous savons que la production de nos équipements numériques est à l’origine d’impacts fortement négatifs ! Nos PC, montres connectées et smartphones derniers cris, fonctionnent avec des matériaux rares. Ces matériaux sont extraits par des êtres humains dans des conditions parfois très précaires. De plus, ces ressources s’amenuisent. Enfin, pour arriver dans nos sacs, ces devices voyagent à travers le monde sur des portes conteneurs polluants.

Pourtant, si la fabrication reste en tête, nos usages méritent de s’y intéresser. Ainsi, vidéos, streaming, mails avec pièces jointes, mining de cryptomonnaies, big data, cloud,… et la démocratisation de tous ces objets connectés sont à la source d’impacts amenés à prendre de plus en plus d’ampleur.

Heureusement, nous pouvons agir ! Cette démarche responsable peut s’appliquer tant au niveau professionnel que personnel. C’est pourquoi, cette prise de conscience est nécessaire pour un numérique assumé mais responsable. Et au delà, de l’aspect environnemental,  nous évoquerons des pistes environnementales mais sociétales également. Les impacts sociétaux font partie intégrante de cette responsabilité numérique.

Quelques pistes d’actions

Tel Maître Yoda, nous avons listé quelques préceptes. Sans vouloir être dogmatique, mais plutôt pragmatique, nous souhaitons par cet article partager notre prise de conscience. Et peut-être, vous donner envie de mettre en place quelques actions plus responsables !

  1. Du matériel reconditionné, tu achèteras ou loueras !
  2. Pour du neuf, du matériel de qualité et évolutif pour longtemps, tu amortiras !
  3. Pour développer tes applications à l’éco-conception, tu penseras !
  4. Ton équipe technique, de personnes en reconversion et de femmes, tu constitueras !
  5. Ton équipe au numérique, tu formeras et au numérique responsable, tu sensibiliseras !
  6. Pour éviter l’accumulation d’appareils téléphoniques, une double SIM ou byod (bring your own device) tu envisageras !
  7. La charte du numérique responsable, tu liras !
  8. Ton système d’information (facile à dire !) tu simplifieras !
  9. Des solutions numériques de proximité, tu trouveras !
  10. Tes mails même hors des « clean up day » tu supprimeras !
  11. Les « répondre à tous » avec gif animés, tu éviteras !
  12. La triple saisie, tu banniras !
  13. Des fournisseurs responsables, tu privilégieras (hébergement, matériel, logiciel) !
  14. Les solutions développées à proximité, tu étudieras !
  15. Des solutions accessibles à tous, tu développeras !

#Techforgood #GreeenforIT #ITforgreen#ODD #HumanforIT #ITforHuman

 Pour aller plus loin :

Des ressources sont disponibles sur le Think Tank de l’Institut du Numérique Responsable https://institutnr.org/

Calculez votre impact https://institutnr.org/calculatrice/impact-environnemental-numerique-inr.html

charte.institutnr.org

Découvrir les ateliers de La Fresque du Numérique pour comprendre en équipe et de manière ludique les enjeux environnementaux du numérique :

https://www.fresquedunumerique.org/

https://www.agenda-2030.fr/17-objectifs-de-developpement-durable/

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Caroline ScheidtVers un numérique plus responsable ?
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Transformation : 5 points d’attention à éviter

Doctolib, BlablaCar, Airbnb, Amazon, l’IA, l’IoT, les réseaux sociaux  : rien ne sera plus comme avant. On célèbre à nouveau Darwin :  « se transformer ou disparaître ». La majeure partie des entreprises l’a compris, et plus encore depuis le début de la crise sanitaire. Mais la transformation n’est pas un long fleuve tranquille. Voici 5 points d’attention :

1. Confondre transformation et digitalisation

Tout part de la technologie, mais tout ne s’arrête pas là. Conduire une réunion via Teams, Zoom ou Google Meet, ne relève pas de transformation, mais de la seule digitalisation. Pourquoi ? Parce qu’on ne fait que remplacer une table de réunion par un écran, une salle par une plateforme. La réunion a toujours un objectif, des participants, un ordre du jour, des échanges, et un compte-rendu. La transformation, elle, implique des process différents, et même une manière nouvelle d’aborder les choses, un nouvel état d’esprit (mindset).

2. Confier  la Transformation à la seule DSI

Parce qu’on parle de transformation digitale, le chantier revient à la DSI, logique, on va mettre en œuvre des solutions numériques, faire face à des questions de cybersécurité (plus encore depuis la crise sanitaire). C’est encore le cas dans de nombreuses entreprises… Mais encore une fois, c’est ici réduire la transformation à la seule digitalisation. Ne nous méprenons pas : la DSI doit être partie prenante, mais aux côtés de toutes les autres directions de l’entreprise : RH, Financière, Production, etc. La transformation de l’entreprise implique toutes ses fonctions.

3. Croire que seuls les Digital Native ont des compétences digitales

Qui mieux qu’un trentenaire (donc, qui n’a pas connu l’époque SANS digital), qui, idéalement, disposerait d’une expérience dans une grosse startup,  pour piloter la transformation dans une entreprise ? Attention ! Sans connaissance de l’entreprise, de ses métiers, de ses process, de sa culture, il va être difficile de piloter son changement. Et passer d’une startup à une entreprise en pleine mue va se révéler déstabilisant pour le nouvel arrivant,. Faut-il bannir les digital native de la transformation ? Là n’est pas le propos. Mais au fait parlons dinosaures : Un collaborateur de 50 ans, s’il est fan de la première heure, a assisté aux débuts d’Internet au début des années 90… Il a donc potentiellement 30 ans d’expérience en digital, et donc, possède des compétences non ?

4. Ne pas impliquer la Direction Générale

Les dirigeants de l’entreprise, quelle que soit sa taille sont les leaders en titre de sa transformation. Et plus encore, la communication interne doit assurer leur visibilité et leur engagement réel sur le sujet. Ils doivent porter ce projet à part entière, chacun dans son domaine, et en être les porte-parole.

5. Oublier l’humain : collaborateurs et clients

Ce sont eux qui déterminent le destin de l’entreprise. Ils doivent être la préoccupation centrale de la transformation.

  • En interne, tout commence par… de la pédagogie. Expliquer, rassurer parfois, animer, en tous cas accompagner. Mais surtout dire pourquoi. Laisser voir à chacun la part qu’il prend, qu’il va prendre à l’avenir dans la création de la valeur de la société. Sur ce point, Marque Employeur et Trans-générationnel sont des sujets montants.
  • En externe,  tout tourne autour… du client. On ne lui vend plus un produit ou un service, on co-construit avec lui la réponse à ses besoins. La vente devient relationnelle, elle n’est plus purement transactionnelle (même si elle passe par ce stade). L’expérience client ne s’arrête pas à l’achat, il y a ensuite le service (prise en main, accompagnement, dépannage…) et si l’on si prend bien, des recommandations et d’autres clients.

 

« Le seul patron, c’est le client. Il a le pouvoir de licencier toute l’entreprise, du directeur à l’employé, simplement en allant dépenser son argent ailleurs ». Sam Walton, avant le Digital

On en parle ?

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Catherine PhilibertTransformation : 5 points d’attention à éviter
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Et si on arrêtait d’être aussi joignable ?

Faut-il être toujours joignable au bureau, ou en télétravail ? vous vous posez cette question ? A bien y réfléchir, la Tech n’a pas que du bon…

Ah, la Tech… Certains se souviennent des premiers Blackberry, vous savez, les premiers téléphones qui permettaient aussi d’envoyer et recevoir des mails, avec ces petites touches en dessous de l’écran ?  Exceptionnel le super-pouvoir  conféré par ce petit appareil à une Happy Few !

Et puis, tout le monde a fini par acquérir ces objets magiques qui permettent de traiter ses mails en mobilité, les smartphones ont fait leur apparition, ils sont aujourd’hui la norme. Et ce qui était un super-pouvoir devient… simplement normal, voire, un minimum…

Pire : si nous ne répondons pas immédiatement, n’envoyons-nous pas un mauvais signal ? Nous nous sentons alors en devoir de nous justifier, de nous excuser. Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil ! Du temps (lointain) où les lettres  étaient le seul moyen de correspondre, un trop long délai de réponse donnait certainement lieu à une explication, et à des excuses « Très cher, pardonnez mon long silence… ». Mais la technologie a fait passer un délai acceptable de plusieurs jours… à quelques heures, avec des effets  qui méritent  qu’on s’y attarde un peu.

Misfit, charge mentale et faux critères d’évaluation

Effet #1 : le délai de réponse acceptable pour les uns n’est pas forcément le même que pour les autres et des malentendus peuvent vite survenir… Si Amy estime que le mail qu’elle envoie à Alexia mérite une réponse dans l’heure, il y a fort à parier qu’elle n’apprécie pas  une absence de réponse dans la demi-journée suivante, alors que sa nouvelle collègue, en toute bonne foi, estime que tout cela peut attendre le lendemain !

Effet #2 : le cumul de mails auxquels nous pensons devoir répondre dans les plus brefs délais entraine une charge mentale difficile à gérer. Il devient parfois difficile de distinguer les vraies priorités, et d’organiser notre activité dans ce contexte.

Effet #3, le plus pervers  : le temps de réponse à un e-mail (tout comme son heure) risque de devenir, pour certains managers, un (faux) indicateur de l’engagement de leurs collaborateurs. Dès lors, est-il plus important de traiter au plus vite les mails de son manager, ou de répondre à la question d’un client, ou d’un collègue qui attend une information nécessaire à sa tâche ?

Le remède à tous les maux : l’excuse

Alors, nous avons trouvé une merveilleuse parade à ces tensions : l’excuse. Le fameux : « Excuse-moi pour cette réponse tardive » suivi d’une explication. Et plus cette justification est solide, mieux nous nous sentons… pourquoi ? Parce que nous estimons que le fait de ne pas répondre tout de suite, où que nous soyons et à toute heure envoie à l’autre le message « tu n’es pas ma principale préoccupation » ou alors « il y a des choses plus importantes que ton e-mail (que toi) dans ma journée »…

Mais inversons la vapeur : nous-mêmes, lorsque nous envoyons un e-mail, dans quel délai attendons-nous une réponse ? Et si elle arrive le demain, est-ce grave ? Allons-nous nous considérer que notre destinataire ne nous a pas respecté, nous a négligé ? Essayons de faire le test. Nous surestimons sans doute le délai de réponse attendu…

Vous prendrez bien… un peu de recul ?

Alors, prenons du recul  (oui, bien sûr je m’inclus dans le lot).

  • Ce n’est pas parce que nous POUVONS techniquement répondre de suite à un email que nous DEVONS le faire. Et si c’était urgent ? Alors précisons-le, ou alors mieux, utilisons les messageries instantanées comme  les sms, TEAMS ou SLACK par exemple.
  • Ne prenons pas les choses personnellement (un des accords toltèques), acceptons de ne pas être la préoccupation principale des autres.
  • Utilisons les excuses avec parcimonie, uniquement lorsqu’elles sont sincères, lorsque nous réalisons que nous avons pénalisé le travail d’un collègue ; refusons les excuses systématiques.
  • Etablissons les « règles du jeu » en début de projet ou à notre arrivée dans une équipe : très urgent : téléphone ou messagerie instantanée (préciser laquelle), sinon, précisons le délai que nous considérons comme acceptable pour nos e-mails.

Sachons faire le tri : la #tech est la meilleure des choses, mais elle peut aussi être la pire. Apprécions ses bons côtés, et préservons-nous des autres…

Alors, faut-il être toujours joignable ?

#Tech #usages #mindset

Photo by Patricia Prudente @apsprudente on Unsplash

Inspiré de l’article https://www.theatlantic.com/family/archive/2022/01/not-sorry-for-my-delay/621264/?utm_source=pocket&utm_medium=email&utm_campaign=pockethits de Joe Pinsker

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Catherine PhilibertEt si on arrêtait d’être aussi joignable ?
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S’il vous plaît… donne-moi toute l’info !

#CduVQ – Vous réservez un séjour clé-en-main, all-in, vol compris.

Deux jours avant le départ initialement fixé, le tour operator vous appelle : votre vol est changé,  initialement direct, il va maintenant comporter une escale, de 1h. Comme nous, vous vous dites que ce n’est pas si grave, heureux que vous êtes de pouvoir goûter aux derniers soleils avant l’automne. Mais une heure, c’est court, vous demandez « et pour les bagages, ils nous suivront ? « . Une voix rassurante vous répond que tout se fera sans intervention de votre part, Hakuna Matata (ne te fais aucun souci) !

Un atterrissage difficile…

Vous arrivez enfin à l’aéroport de destination. Et là, naturellement, vous vous postez devant les convoyeurs, qui promènent tous les bagages…tous, oui, sauf le vôtre.

On vous avait bien dit « Vous n’avez rien à faire? » Alors ne faut-il pas partir à la recherche de la navette qui vous conduira à l’hôtel et attendre ? Vous commencez à douter. On n’est jamais trop prudent, vous vous rendez au guichet « Lost & found » le plus proche, et vous exposez votre cas, l’employé scanne le code barre de votre talon bagage collé sur votre carte d’embarquement initiale… et le verdict tombe : votre bagage est resté à l’escale. Vous communiquez donc les coordonnées de votre hôtel, et on vous assure qu’ils y seront livrés dans quelques heures (il est déjà 19h, un samedi soir).

Et là, vous vous dites « mais comment ai-je pu croire qu’en une heure de temps mes bagages allaient pouvoir être débarqués du premier vol et embarqués dans le second ? » Vous regrettez amèrement d’avoir pris pour argent comptant  les propos rassurants du tour operator. Résigné, vous montez  dans votre navette, ne voulant pas prendre le risque, en plus, de vous retrouver en rade à l’aéroport.

De pire en pire

Arrivé à l’hôtel, vous racontez votre mésaventure à la réception où l’employé vous dit « demain c’est dimanche, vos bagages arriveront sans doute dans 2 ou 3 jours ». « QUOI ??? Mais on n’a même pas une trousse de toilette, pas de vêtements de rechange, tout juste un pull pour le soir… » Catastrophé, vous allez acheter dans les quelques magasins des environs un nécessaire de toilette minimal, on verra bien demain ». Vous dormez mal, faisant le deuil -définitif, la nuit ajoute son lot de dramatisation- de vos effets personnels…

Au réveil,  un sms vous annonce l’arrivée de vos bagages entre 9h00 et 16h00 et quelle n’est pas votre surprise lorsque vous croisez l’utilitaire d’un coursier devant l’hôtel… à 8h45. Vos bagages sont livrés en avance sur l’horaire, un dimanche.

Si j’avais su…

En termes d’expérience client, que retenir de tout cela ? (outre le fait que, la prochaine fois, vous prendrez dans votre bagage cabine de quoi survivre 3 jours…). Tout cela a été très désagréable, mais aurait pu être sans douleur… si vous aviez su !

Car si on vous avait dit que vos bagages arriveraient plus tard que vous, vous vous seriez organisé en conséquence, cela n’a rien de sorcier !

Mais plus grave peut-être, vous n’auriez jamais récupéré vos bagages si vous aviez obéi à la consigne « vous n’avez à vous occuper de rien ». Si vous n’étiez pas allé au guichet « Lost & Found », il n’y avait aucun moyen pour que l’on vous retrouve et qu’on vous livre vos bagages…

Je peux tout comprendre… si on m’explique !

Jusqu’ici, votre expérience client est très négative. Et pourtant, elle aurait pu être tout autre !

Vous pouvez comprendre l’impossibilité que vos bagages vous suivent, si vous êtes prévenus à l’avance. Vous savez que faire si on vous a indiqué de vous rendre, dès votre arrivée, au guichet « Lost &Found » pour qu’on organise la livraison de votre valise au plus vite. Et le lendemain vous voyez arriver votre bagage avant l’heure dite. Ce n’est plus du tout la même expérience n’est-ce pas ? Ce que vous retenez, c’est le quart d’heure d’avance dans la livraison de vos effets à l’hôtel ! Et l’expérience est positive !

Donc, dans nos interactions avec les clients, anticipons !

Un imprévu se glisse dans la mécanique bien huilée de votre projet : prévenez immédiatement, en vous excusant et en proposant un plan B.

Le savoir ou pas, cela change tout.

Et pour notre part, nous retenons… que les voyages forment la jeunesse !

PHOTO : Photo by ConvertKit on Unsplash

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SE RENCONTRER : EN PRESENTIEL OU A DISTANCE ?

On dit que la crise sanitaire a accéléré la #transformationdigitale dans les entreprises. Mais généralement, c’est plutôt de #digitalisation dont on parle. La #Transformation – on devrait d’ailleurs se passer de l’adjectif « digitale » – va beaucoup plus loin. Elle change nos modes de travail, nos modèles économiques, et même, notre manière d’interagir, nos relations, notre état d’esprit.

Prenons un exemple tout simple : les rendez-vous (business bien sûr).

Et la visio fut…

L’entré fracassante de la « visio » n’a pas été le simple ajout d’un nouvel outil de réunion : elle a changé notre manière de faire connaissance, d’évoluer dans nos relations, d’appréhender chacune des étapes d »approche ». Et si l’on regarde tout cela d’une manière positive, cela nous permet :

  • d’ajouter une étape intermédiaire entre le mail / téléphone et le rendez-vous physique
  • de gagner du temps sur la décision de continuer ou non la relation
  • d’expérimenter plus facilement (la visio est moins engageante)
  • d’être plus détendu par rapport à l’issue de cette première rencontre virtuelle : pas de culpabilité (d’avoir fait déplacer pour les uns) et beaucoup moins de frustration (pour les autres s’il n’y a pas de suite…)

Les codes changent…

Imaginons un rendez-vous de prospection commerciale, ou de recherche de partenariat…

  • Amorcer le premier contact : le téléphone, un mail, un message privé sur les réseaux sociaux… Là, aucun changement !
  • Faire connaissance : la visio conférence est parfaite pour évaluer l’envie/la possibilité de travailler ensemble.
  • Approfondir la relation : en fonction des distances, des disponibilités, le face à face devient approprié. On a déjà estimé qu’on allait « faire un bout de chemin ensemble ». Une rencontre « en présentiel » est alors, justement parce qu’il existe d’autres options, un signal positif ! Parfois bien sûr, si la distance est très importante, on continue en  visio… Mais la situation est différente.

Et un dernier conseil : il faut désormais être précis lorsqu’on convient d’un rendez-vous :

« en présentiel ou à distance » ?

Photo Charles Deluvio pour Unsplash

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Catherine PhilibertSE RENCONTRER : EN PRESENTIEL OU A DISTANCE ?
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ET SI ON PARLAIT EXPERIENCE COLLABORATEUR ?

 

Pour une entreprise, l’expérience-client reste l’attribut différenciateur le plus important. Car si les produits ou services peuvent être similaires à ceux de ses concurrents, c’est bien la qualité des interactions que peut avoir le client avec l’entreprise qui permet de faire la différence et de parvenir à fidéliser sa clientèle.

Mais pour créer une bonne expérience client, encore faut-il disposer d’équipes de collaborateurs motivés, engagés qui vivent eux aussi… une bonne expérience collaborateur.

Lire aussi : Digital et relation-client : je t’aime moi non plus !

Qu’est-ce que l’expérience collaborateur ?

Selon Wikipédia : « L’expérience collaborateur désigne l’ensemble des interactions et expériences vécues par un collaborateur au sein de l’entreprise, dans les moments clés de son parcours comme dans son quotidien professionnel ».

Un collaborateur qui se sent écouté et pris en compte dans la stratégie de l’entreprise aura donc un sentiment d’appartenance plus fort. Il sera plus engagé dans la réussite de ses missions. L’expérience collaborateur a pour objectif de produire plus d’engagement, de loyauté. Elle contribue également à la construction de la marque employeur.

Car n’oublions pas que les salariés d’une entreprise sont ses premiers prescripteurs en externe.

Cependant, une étude du Groupe Cegos sur les Millenials et le travail révèle un décalage dans les perceptions de part et d’autre :

  • côté salariés, seuls 42% des  20 à 30 ans estiment que leur entreprise développe une politique RH propre à recruter et fidéliser les jeunes talents ;
  • coté entreprise : 80% des DRH pensent que les salariés ont cette opinion .

Alors, quels sont les freins encore existants au développement de l’expérience collaborateur ? 

  1. Le manque de partage d’informations

Il existe pourtant de nombreux outils de partage de documents et autres informations. Pour autant, ils restent sous-utilisés. En effet, existence d’un outil ne signifie pas son appropriation et encore moins son utilisation systématique de la part de tous les collaborateurs. Comment convaincre les salariés les plus réfractaires à la technologie ? Sans doute faut-il aller chercher plus loin le pourquoi des pratiques de chacun au regard du partage de l’information. Il n’est pas facile de favoriser  une vision du travail en faveur de l’entreprise plutôt que  la recherche de la reconnaissance personnelle.

Des Intranets existent depuis quelques années mais ne pas sont pas assez développés dans les petites et moyennes entreprises. Pourtant, ils sont destinés à être le lieu ressource où le nouvel embauché – ainsi que les autres collaborateurs – doit trouver toutes les informations qui lui sont nécessaires.

Parfois, des pratiques managériales instaurant une compétition entre les salariés  renforcent cette segmentation de l’information puisque savoir = pouvoir.

  1. Des outils encore trop complexes

L’accès aux informations sur l’entreprise en générale ou sur des projets spécifiques reste un sujet. A cet égard, bien souvent « trop d’outils tue l’outil ». C’est donc une simplification qui s’impose, afin d’éviter aux collaborateurs d’avoir, comme dans un jeu de piste, à chercher toutes ces informations parfois « cachées ».

Alors que la technologie est de plus en plus au service du parcours client, de sa réflexion au passage à l’acte d’achat. Qu’en est-il du parcours collaborateur dans l’entreprise ?

Du design des outils, à l’accompagnement lors des différentes démarches administratives : de nombreux points sont encore à améliorer pour faciliter le quotidien de ses salariés. C’est ce qui commence à être désigné par « DEX » (Digital Employee Experience)

  1. L’extension du télétravail

Réponse évidente à la crise sanitaire de 2020, le télétravail est devenu une nouvelle habitude.

Comment les accompagner au mieux dans ce changement radical ? Car il s’agit de repenser le mode de travail, de définir les limites entre la vie privée et la vie professionnelle, qui s’exercent dans un même lieu… Sans compter l’impérieuse nécessité d’éviter l’exclusion des collaborateurs à éviter, la digitalisation des activités doit être accompagnée. Un rôle nouveau pour les équipes RH.

Quelques pistes pour accompagner ses salariés à distance :

  • un Intranet facile d’accès et complet
  • l’instauration d’outils de gestion de projet
  • l’élaboration d’un planning
  • la mise en place de team buildings
  • Des feedbacks réguliers
  • Le partage des expériences entre différents pôles de l’entreprise

A l’heure où, de plus en plus les entreprises peinent à recruter, l’amélioration durable de l’expérience collaborateur est essentielle. Les solutions digitales et les changement qu’elles peuvent apporter aux process et habitudes de travail peuvent y contribuer. A condition toutefois que l’entreprise veille à ménager une bonne expérience digitale à ses collaborateurs (DEX). Un bon accompagnement, interne ou externe, peut alors se révéler clé.

 

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Catherine PhilibertET SI ON PARLAIT EXPERIENCE COLLABORATEUR ?
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l’IA : en quoi elle peut changer les RH

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L’Intelligence Artificielle (IA) n’est pas une innovation, pourtant, de nombreuses entreprises s’y intéressent… Mieux que cela, elle est même entrée dans nos vies quotidiennes, notamment via nos smartphones.

Si l’IA peut apporter beaucoup aux équipes Ressources Humaines (RH), elle a toutefois quelques limites…

 

Que peut faire l’IA pour la fonction RH ? 

Un des challenges de l’ IA est de parvenir à s’adapter aux métiers complexes de la fonction RH. Ses missions sont diverses et variées, il est un pilier central de l’entreprise au carrefour entre l’humain et la recherche de performance pour son entreprise.

L’IA est capable d’analyser une grande quantité de données difficiles à appréhender pour l’être humain. Elle peut ansi soulager les équipes  RH sur les tâches quotidiennes et répétitives, généralement administratives, afin de se libérer du temps et se consacrer à l’humain avant tout : gestion des salariés, écoute et amélioration de leur expérience dans l’entreprise. Selon une étude de Axys, 86% des RH souhaitent que l’IA permette d’automatiser une partie de leur travail et ainsi se défaire des tâches chronophages. L’IA ne remplace pas les équipes RH et ne les remplacera jamais, en revanche, elle simplifie nombre de tâches qui leur incombent.

Autre aspect un peu moins connu de l’IA : en analysant les posts publiés sur les réseaux sociaux, elle peut permettre d’identifier des signaux faibles, par exemple quant à l’adéquation d’un profil à la culture d’entreprise, et même aller jusqu’à anticiper le départ d’un salarié !

 

Quelle forme d’IA pour accompagner les RH ?

Quelques usages  de l’IA par les équipes RH :

Des chatbots peuvent être configurés pour répondre aux questions récurrentes des employés en matière de RH.

Dans le cadre d’un recrutement, l’IA peut permettre trouver un candidat dont les compétences sont en adéquation avec l’offre d’une entreprise. Et pour éviter tous les biais, l’IA se concentre sur les expériences, hard skills et soft skills et ne pas prendre en compte  le genre, la photo, le nom ou l’origine de la personne. L’IA peut étudier le profil d’un candidat en shortlist et valider sa « compatibilité » avec le reste de l’équipe.

Lire aussi : Quand ce sont les soft skills qui font la différence

Mais attention, l’IA n’est pas infaillible puisqu’elle obéit à des  paramètres indiqués par l’humain. Ainsi, en 2015 la plateforme d’IA de recrutement Amazon remarquant qu’une majorité d’hommes postulaient en a conclu qu’il était préférable de recruter des hommes et rejetaient les candidatures féminines. Avec l’IA aussi, il faut se méfier des biais !

 

IA et éthique

L’IA apporte également une nouvelle dimension aux RH, en effet il leur est désormais possible d’avoir accès aux données sur les candidats à un poste et même sur les salariés actuels de l’entreprise. Les réseaux sociaux, blogs ou encore … peuvent être scrutés afin de mieux connaître ses actuels ou futurs collaborateurs. On peut alors se demander où se trouve la liberté personnelle de chacun ? L’IA appelle donc un encadrement du point de vue éthique, et même juridique.

Ainsi, 83% des DRH se veulent être garants de l’éthique suite à la mise en œuvre de l’IA dans leur entreprise.

Un accompagnement des collaborateurs dans cette transition est donc fondamental et nécessaire. Dans ce cadre, 81% des DRH confient qu’ils seront attentifs aux impacts de cette technologie sur les conditions de travail et le bien être des collaborateurs. Ne serait-ce que pour prendre en compte la maturité digitale et les appétences de chacun vis à vis de toutes ces nouvelles solutions digitales qui font leur entrée en entreprise.

 

Conclusion

Le challenge des années à venir, est de trouver le bon binôme homme-machine, de conjuguer la meilleur des deux. Dans le cas de la fonction RH, il va s’agir de se réinventer pour tirer les bénéfices du traitement par l’IA d’un nombre de données qui donne le vertige au cerveau humain… Mais qu’on se rassure : soft skills, intelligence émotionnelle, ont toujours une place prépondérante dans l’entreprise. Et cela risque de durer encore longtemps ! Plus il y a d’IA, plus il faut d’émotion, de créativité, bref… d’humain !

 

 

https://www.axys-consultants.com/blog/digital-data/ia-menace-ou-opportunite-pour-les-drh

https://www.andrh.fr/actualites/1163/rh-digital-lintelligence-artificielle-au-service-de-la-grh

https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/quand-le-logiciel-de-recrutement-damazon-discrimine-les-femmes-141753

 

 

 

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